Pour sa troisième édition à Sophia Antipolis, le Challenge de la Mobilité passe dans une nouvelle dimension. Il n’a désormais plus rien à envier aux autres challenges organisés en France, sur des territoires pourtant plus vastes. À l’origine mis en place dans le cadre du Plan de Déplacement Inter-Entreprises de Sophia (15 établissements) cet événement fédérait seulement - mais déjà - 26 établissements en 2016.
2 ans plus tard, près d’une centaine d’établissements (93) représentant 16 400 salariés se sont mobilisés, soit une augmentation de 43% par rapport à 2017. Tous les types de structures sont représentés, de la petite association à l’entreprise de plus 3 500 salariés en passant par les collectivités locales et les établissements d’enseignement. À pied, à vélo, en transport en commun ou en covoiturage, 2246 salariés (1450 en 2017 soit une augmentation de 54%) ont pris part à l’événement.
Près de 300 d’entre eux sont même allés plus loin en privilégiant le non déplacement, grâce au télétravail. Le 20 septembre les établissements de Sophia ont démontré qu’aller au travail autrement sur la technopole était possible. Ils auront cumulé 70 000 km.
Pour sa deuxième édition à Sophia Antipolis, le Challenge de la mobilité aura encore largement dépassé les objectifs. Cette année ce sont 65 établissements (+150%) de toutes tailles qui auront pris part à cette grande fête de la mobilité. 1453 (850 en 2016 soit une augmentation de 76%), c’est le nombre de salariés qui ont participé au Challenge. À pied, à vélo, en transport en commun ou en covoiturage, 150 d’entre eux sont même allés plus loin en privilégiant le non déplacement, grâce au télétravail. Au total ils auront cumulé 45 700 km en mode alternatifs.
Cette année encore, c’est le covoiturage qui a été plébiscité. Comme l’an dernier, 35 % des participants ont partagé leur véhicule. Un quart des challengers (23 %) ont fait le pari du vélo et la météo leur aura donné raison, tandis que 14% des participants auront pris le bus pour venir au travail. Enfin, et c’est la principale évolution, 10% des participants ont fait le choix du télétravail (4% en 2016). Plus de problème d’embouteillage, de retard ou de sécurité et 0 émission de polluants. Assurément une pratique en plein essor... à développer ?
Parmi les grands motifs de satisfaction et tout comme lors de la première édition, nous noterons la très belle mobilisation des automobilistes qui ont largement relevé le défi, puisqu’ils représentent plus de la moitié des participants (52 %), soit 437 salariés. Comme leurs collègues « alternatifs » ils se sont pour la plus grande partie reportés vers le covoiturage et le vélo (38 % et 27 %) réalisant 22 800 km en cumulé. Notons également que les automobilistes ont fait la part belle au télétravail puisque 15 % d’entre eux ont choisi de télétravailler.
Pour sa première édition à Sophia Antipolis, le Challenge de la mobilité a connu un franc succès. A l’origine mis en place dans le cadre du Plan de Déplacement Inter-Entreprises (13 établissements) de Sophia cet évènement a su fédérer bien au-delà des objectifs puisqu’au total, ce sont 26 établissements de toutes tailles qui y auront pris part. De la petite association à l’entreprise de plus 2500 salariés en passant par les collectivités locales, le Challenge de la Mobilité a su trouver son public prouvant si besoin était que les questions de mobilité sont un sujet de préoccupations pour tous les employeurs. 835, c’est le nombre de salariés qui ont participé au Challenge. A pied, à vélo, en transports en commun ou en covoiturage ils ont démontré qu’aller au travail autrement, c’est possible. Ils auront cumulé 27 200 km.
Cette année, c’est le covoiturage qui a été plébiscité. 35 % des participants ont partagé un véhicule le 20 septembre. Plus surprenant, 27 % des challengers ont utilisé le vélo sur l’intégralité de leur trajets domicile-travail. Si l’on prend en compte les trajets multimodaux (train+vélo, bus+vélo…) c’est près de 30 % soit 242 salariés qui auront enfourché leur 2 roues.
Parmi les grands motifs de satisfaction, nous noterons la très belle mobilisation des automobilistes qui ont largement relevé le défi, puisque qu’ils représentent plus de la moitié des participants (52 %), soit 437 salariés. Comme leurs collègues « alternatifs » ils se sont pour la plus grande partie reportés vers le covoiturage et le vélo (39 % et 30 %) réalisant en cumulé 12 800 km.